"Décor urbain & contrasté entre délicatesse de verres trempés & de détails couleurs d’un côté, touches plus sobres, presque laissées brutes de l’autres.
Surprenant & audacieux, c’est le décorum cozy du rendez vous du centre ville.
A midi, on y déjeune entre collègues, le soir on s’y montre brillant de bijoux & de luxe, plus sophistiqué, presque enrichi." S.A.
Passion, créativité, qualité & service, nichés au coeur de Dakar
Dans le cadre de nos 25 ans, le Groupe La Fourchette prend, mais surtout donne la parole à notre grande famille de collaborateurs d’aujourd’hui et d’hier à travers des portraits magnifiés.
MOUSSA SARR
Ancien chef pâtissier, passionné par l’agriculture :
Embauché en tant que plongeur à ses débuts, Moussa rejoint l’équipe de cuisine du restaurant La Fourchette. Travailleur et déterminé, Il se fait une place de choix au sein de l’équipe pâtisserie, avant d’en devenir le Chef. Après 16 ans de bons et loyaux services, Moussa décide de se dédier à ses passions : l’agriculture et l’élevage. Son projet est aujourd’hui soutenu par la Direction qui a développé conjointement avec Moussa une ferme agricole.
Lorsque vous mangerez dans un de nos établissements, rappelez-vous donc de ces quelques lignes quant à l’origine de certains de nos produits !
ADAMA SIDIBE
Chef de Partie à Alkimia :
Passionnée de basket, cette jeune femme rêvait de défendre les couleurs du Pays de la Teranga du haut de ses 1m80. Adama partage une autre passion : la cuisine. Une femme qui évolue dans une cuisine composée majoritairement d’hommes, compte tenu de la société traditionnelle dans laquelle nous évoluons, est forcément une femme de caractère. Aujourd’hui, elle le démontre parfaitement de par son énergie explosive, sa persévérance et son tempérament de pivot. Son sourire et sa joie de vivre ne cessent d’éclairer la cuisine d’Alkimia.
"Adama, tu resteras à jamais la lionne préférée d’Alkimia et du Groupe !"
MODOU DIOUF
Maitre d’Hôtel :
De son arrivée comme troisième commis, un mois après l’ouverture d’Alkimia, fin 2010, à aujourd’hui, Modou Diouf a grimpé un à un les échelons de son métier pour devenir le Maitre d’Hôtel emblématique de l’Alkimia. À travers lui, l’état d’esprit de l’établissement s’exprime pleinement. L’enfant de Pikine aime le contact et s’épanouit dans le challenge. Remarqué par Adama Ba, lui-même maître d’hôtel, Modou compose en premier son numéro quand il est à son tour nommé Maître d’hôtel, fier de partager l’immensité du chemin parcouru. Puis vient le moment de l’annonce à sa mère. Comment lui dire ? Modou se tait, lui prend la main. Les mots ne peuvent plus rien. Sa maman le sait : son fils souffre de bégaiement. Maîtriser ses émotions est son défi quotidien. Oui, Modou est bègue mais La plupart de ses clients ne l’ont jamais remarqué. Modou, en as de la communication, a su le muer en d’immenses qualités : l’écoute, le respect, la détermination et la tolérance.
Sa parole est impeccable.
M. DIA
sushiman à La Fourchette, à la retraite :
Savez-vous qu’il existe un sushiman sénégalais rompu aux exigences de la pure tradition japonaise ? Monsieur Dia fut marin à Yokohama avant de devenir cuisinier à l’ambassade du Japon à Dakar. Une longue histoire qui a fusionné avec celle de La Fourchette, premier restaurant de la place à avoir mis sushis et sashimi à sa carte. M. Dia, aujourd’hui à la retraite, a transmis son art à ses enfants : Ameth, Mama, Mamie Mbathio et Ibou qui perpétuent un savoir-faire ancestral au sein du groupe la Fourchette.
M. Dia, aujourd’hui à la retraite, a transmis son art à ses enfants : Ameth, Mama, Mamie Mbathio et Ibou qui perpétuent un savoir-faire ancestral au sein du groupe la Fourchette.
KHADY NDIAYE
Spécialiste des jus à La Fourchette:
Khady fut l’une des premières à rejoindre l’aventure. Elle adore travailler le dimanche car le restaurant est «calme», et ça fait 25 ans que ça dure. Femme passionnée et passionnante, elle met tout son amour dans nos jus locaux.
Son préféré, c’est le gingembre.
PAPIS GOMIS
Responsable maintenance du groupe, passionné par la musique :
D’origine gambienne, Papis est présent à nos côtés depuis plus de 20 ans. Passionné par la musique, il décide dès son plus jeune âge de se consacrer à ce qui le fait vibrer. Très rapidement il anime des soirées sous le nom de « Dj Patch», le seul et l’unique ! À son arrivée à Dakar, micro dans la main gauche, et rouleau dans la main droite, il décide de s’adonner à la peinture de chantier. Notez que sa platine sur la photo l’accompagne depuis très longtemps entre deux coups de pinceau.
"Alors « Dj Patch », à quand une soirée à Alkimia Dakar?"
HABIB SANÉ
Le sens du placement
Le football guide ses pas depuis l’enfance. Pour preuve, un ballon sous le bras, Habib aimait observer les allées et venues de ceux qui partaient boire et manger face à la mer mais aussi des Présidents qui aimaient se promener, sous l'oeil protecteur d'un garde : "Mon oncle était serveur puis Maître d’Hôtel au Palais." Fan du Real de Figo devenu inconditionnel de Messi, il précise : “quand j’étai boy, je voulais travailler au Niani. J'y faisais parfois de petits extras. J’habitais en face, c'est pour ça que l'on m'a confié les clés à la fermeture. J'ai gardé le matériel. Table, bar, chaise, assiette, cuillère... C'est tout naturellement que, plus de 10 ans après, il installe toutes les réceptions du traiteur La Fourchette. Une équipe bien en place peut relever tous les défis comme installer un dîner au Petit Palais et travailler au même endroit et en même temps que son oncle pour recevoir et servir les invités du Premier Ministre du Sénégal :
trajectoires croisées, fiertés partagées.
ABLAYE NDOUR
alias "La Fourchette"
"La Fourchette", c’est Sunu Mbër, notre lutteur ! « Je fais des extras comme plongeur, mais mon seul métier c’est Làmb, la lutte. Je veux réussir. » Le travail ne fait pas peur à "La Fourchette" : trois heures d'entraînements le matin puis musculation et, chaque soir, l’école de lutte de Manga 2 où il perfectionne ses techniques, notamment la boxe. Et même quand "La Fourchette" prend la route au rythme des évènements du traiteur à travers le pays, les Bàkku improvisés de ses collègues l’accompagnent.
Notre lutteur a du cœur, c’est pour cela qu’on aime tous "La Fourchette".
Moussa Sarr
Ancien chef pâtissier, passionné par l’agriculture :
Embauché en tant que plongeur à ses débuts, Moussa rejoint l’équipe de cuisine du restaurant La Fourchette.
Travailleur et déterminé, Il se fait une place de choix au sein de l’équipe pâtisserie, avant d’en devenir le Chef.
Après 16 ans de bons et loyaux services, Moussa décide de se dédier à ses passions : l’agriculture et l’élevage. Son projet est aujourd’hui soutenu par la Direction qui a développé conjointement avec Moussa une ferme agricole.
Lorsque vous mangerez dans un de nos établissements, rappelez-vous donc de ces quelques lignes quant à l’origine de certains de nos produits !
Adama Sidibe
Chef de Partie à Alkimia :
Passionnée de basket, cette jeune femme rêvait de défendre les couleurs du Pays de la Teranga du haut de ses 1m80. Adama partage une autre passion : la cuisine.
Une femme qui évolue dans une cuisine composée majoritairement d’hommes, compte tenu de la société traditionnelle dans laquelle nous évoluons, est forcément une femme de caractère.
Aujourd’hui, elle le démontre parfaitement de par son énergie explosive, sa persévérance et son tempérament de pivot. Son sourire et sa joie de vivre ne cessent d’éclairer la cuisine d’Alkimia.
"Adama, tu resteras à jamais la lionne préférée d’Alkimia et du Groupe !"
Bona
Responsable clientèle du King's :
J'adore les caisses, la vitesse, je ne sais même pas pourquoi, c'est en moi".
Un virus attrapé sur les épaules de son père en regardant les monstres du Paris-Dakar traverser Saint-Louis.
Tout est dans l'œil de Bona, l'assurance de celui qui veut voir plus loin : "J'ai commencé comme serveur à La Fourchette en 2005".
Quand l'absence d'un barman laisse entrevoir un espace où s'engouffrer, Bona embraye et se propose. Tout vas très vite. Devenu chef Barman en quelques années, une nouvelle mission l'aspire déjà : débloquer les compteurs de la clientèle du King's.
Désormais le King's occupe ses pensées et ses nuits depuis que la réouverture de ses portes en 2017. Il s'y sent comme chez lui.
Papis Gomis
Responsable maintenance du groupe, passionné par la musique :
D’origine gambienne, Papis est présent à nos côtés depuis plus de 20 ans. Passionné par la musique, il décide dès son plus jeune âge de se consacrer à ce qui le fait vibrer.
Très rapidement il anime des soirées sous le nom de « Dj Patch», le seul et l’unique ! À son arrivée à Dakar, micro dans la main gauche, et rouleau dans la main droite, il décide de s’adonner à la peinture de chantier.
Notez que sa platine sur la photo l’accompagne depuis très longtemps entre deux coups de pinceau.
"Alors « Dj Patch », à quand une soirée à Alkimia Dakar?"
Modou Diouf
Maitre d’Hôtel :
De son arrivée comme troisième commis, un mois après l’ouverture d’Alkimia, fin 2010, à aujourd’hui, Modou Diouf a grimpé un à un les échelons de son métier
pour devenir le Maitre d’Hôtel emblématique de l’Alkimia. À travers lui, l’état d’esprit de l’établissement s’exprime pleinement.
L’enfant de Pikine aime le contact et s’épanouit dans le challenge.
Remarqué par Adama Ba, lui-même maître d’hôtel, Modou compose en premier son numéro quand il est à son tour nommé Maître d’hôtel, fier de partager l’immensité du chemin parcouru.
Puis vient le moment de l’annonce à sa mère. Comment lui dire ? Modou se tait, lui prend la main. Les mots ne peuvent plus rien. Sa maman le sait : son fils souffre de bégaiement.
Maîtriser ses émotions est son défi quotidien. Oui, Modou est bègue mais La plupart de ses clients ne l’ont jamais remarqué. Modou, en as de la communication, a su le muer en d’immenses qualités : l’écoute, le respect, la détermination et la tolérance.
Sa parole est impeccable.
M. Dia
sushiman à La Fourchette, à la retraite :
Savez-vous qu’il existe un sushiman sénégalais rompu aux exigences de la pure tradition japonaise ? Monsieur Dia fut marin à Yokohama avant de devenir cuisinier à l’ambassade du Japon à Dakar. Une longue histoire qui a fusionné avec celle de La Fourchette, premier restaurant de la place à avoir mis sushis et sashimi à sa carte.
M. Dia, aujourd’hui à la retraite, a transmis son art à ses enfants : Ameth, Mama, Mamie Mbathio et Ibou qui perpétuent un savoir-faire ancestral au sein du groupe la Fourchette.
M. Dia, aujourd’hui à la retraite, a transmis son art à ses enfants : Ameth, Mama, Mamie Mbathio et Ibou qui perpétuent un savoir-faire ancestral au sein du groupe la Fourchette.
Khady Ndiaye
Spécialiste des jus à La Fourchette:
Khady fut l’une des premières à rejoindre l’aventure. Elle adore travailler le dimanche car le restaurant est «calme», et ça fait 25 ans que ça dure.
Femme passionnée et passionnante, elle met tout son amour dans nos jus locaux.
Son préféré, c’est le gingembre.
Habib Sané
Le sens du placement
Le football guide ses pas depuis l’enfance. Pour preuve, un ballon sous le bras, Habib aimait observer les allées et venues de ceux qui partaient boire et manger face à la mer mais aussi des Présidents qui aimaient se promener, sous l'oeil protecteur d'un garde : "Mon oncle était serveur puis Maître d’Hôtel au Palais."
Fan du Real de Figo devenu inconditionnel de Messi, il précise : “quand j’étai boy, je voulais travailler au Niani. J'y faisais parfois de petits extras. J’habitais en face, c'est pour ça que l'on m'a confié les clés à la fermeture. J'ai gardé le matériel. Table, bar, chaise, assiette, cuillère...
C'est tout naturellement que, plus de 10 ans après, il installe toutes les réceptions du traiteur La Fourchette. Une équipe bien en place peut relever tous les défis comme installer un dîner au Petit Palais et travailler au même endroit et en même temps que son oncle pour recevoir et servir les invités du Premier Ministre du Sénégal :
trajectoires croisées, fiertés partagées.
Ablaye Ndour
alias "La Fourchette"
"La Fourchette", c’est Sunu Mbër, notre lutteur !
« Je fais des extras comme plongeur, mais mon seul métier c’est Làmb, la lutte. Je veux réussir. »
Le travail ne fait pas peur à "La Fourchette" : trois heures d'entraînements le matin puis musculation et, chaque soir, l’école de lutte de Manga 2 où il perfectionne ses techniques, notamment la boxe.
Et même quand "La Fourchette" prend la route au rythme des évènements du traiteur à travers le pays, les Bàkku improvisés de ses collègues l’accompagnent.
Notre lutteur a du cœur, c’est pour cela qu’on aime tous "La Fourchette".